Dans la clairière d'Aurore...

Je me promenais le long de la petite rivière qui coupait ma clairière en deux, lorsque mon père m'avait appeler. J'avais accourut vers lui craignant qu'il ne lui soit arrivé malheur en le voyant, se tenir le dos humain. Je lui demandait ce qui lui était arrivé et il me répondit cette phrase qui me figea sur place:

-Ma fille, je ne suis plus tout jeune! J'ai essayer de sauter pour attraper une belle pomme rouge, mais je crois bien que je me suis coincé le dos! Peux-tu aller me chercher, s'il te plaît, quelques herbes pour me décoincer?

Je m'étais donc exécuter. J'avais traversée le pont de bois qui passait au-dessus de la rivière pour atterrir sur l'autre rive. Je galopait lorsque je stoppa net: je sentais et j'entendais des gens! J' étendis mes sens en m'approchant de la source du bruit et constata que j'avais à faire à deux centaures...

Je m'apprêtais à répondre au centaure qui disait s'appeler Alfirin, lorsque la centaure qui l'accompagnait me devança:

-Manquait plus ça une autre centaure !

Puis elle s'était tournée vers Aflirin et avait dit des paroles qui m'avait surprise:

-Reste avec elle, dans cette clairière moi, je rentre chez moi ! J'en ai marre de vous tous, centaures, j'étais bien où j'étais et j'y retourne maintenant !

Ensuite Alfirin avait répondu qu'il ne savait même pas son nom et qu'elle ne savait pas où elle était... La centaure s'était présenté assez brusquement et dit qu'elle rentrait chez elle. Elle avait fait un pas et comme Alfirin fit de même, elle lui avait dit qu'elle ne voulait pas de lui...Puis elle s'était tournée vers moi et m'avait parler:

-S'il vous plait, gardez-le avec vous. Il pourra vous aider et ferra tout ce que vous voulez.

Agacée par ce qui venait de ce passer, je lui répondit d'une voix glacée:

- Désolée, mais je ne pense pas qu'il me sera d'une grande utilité ici. Et de toute façon je pense que le choix lui appartient. Je les observaient en attendant leurs réponses....

[Désolé j'ai pas trop d'idée ^^]

J'avais observer et écouter Alfirin ainsi qu'Amayelle. Celle-ci m'avait demandé si je connaissais un peu la forêt qui nous entouraient. Je l'avais regarder fixement, un peu étonnée pour ensuite lui répondre ceci:

- Si je connais cette forêt? Bien sur que oui! Je la connais comme ma poche car j'y vis depuis ma plus tendre enfance, avec mon père et avant ma mère...

Ces mots m'avait échappés et ma voix s'était brisée sur ces derniers mots...

J'essayais de faire bonne figure et proposa à Amayelle de venir visiter mon territoire.

Visiblement ces deux centaures était étrange! D'abord il se disputaient, et ensuite il s'entraidait... Amayelle m'avait demandée de les aider à se cacher et vu la tête du centaure à côté d'elle, je me dis que je ferais bien de les aider...quand je me souvînt que mon pauvre père devait m'attendre avec son dos coincé. Je grimaçais devant la situation ambigu: d'un côté je devais aider ces deux centaures à se cacher pour une raison que je ne connaissais pas et de l'autre je devais apporter des plantes médicinales à mon père. Je décidais donc de faire d'une pierre deux coup. Je leur annonça brièvement:

-Venez avec moi, je connais un endroit où personne ne vous trouvera.


Puis je m'élançais dans la forêt, tout en vérifiant de temps à autres qu'ils me suivaient.
Je pris aux passage les quelques herbes dont j'avais besoin, et j 'arrivai dans ma belle clairière, où je vis mon père gambader après un papillon... J'accourus vers lui me confondant en excuses. Il me répondit d'une voie légère:

-Ne t'inquiète pas, mon dos c'est décoincé tout seul. Merci d'avoir pris ses herbes, elles me seront utiles au cas où sa recommencerait. Mais au fait qui sont ses deux centaures derrières toi?

Je me retournais constatant que je les avaient oubliés...

-Hem...Je les ai croisés dans la forêt. Il cherche un endroit où se cacher.

Mon père me regarda surpris puis accorda:

-Bien. Tu n'as qu'a les emmener dans la grotte d'Oriri.

-Suivez le guide! dis-je gaiement aux deux centaures.

Ce que le silence pouvait être agréable! Je m'en étais déjà aperçut en me promenant dans ma forêt. Cela faisait plusieurs minutes que nous marchions dans ce silence bienfaisant quand Alfirin s'était subitement arrêter et avait poser la question suivante:

- Les arbres sont t-ils vivant ?


Je m'étonnais de cette question, mais je lui répondit d'une voix posée:

-Bien sur que les arbres sont vivants !

Puis je m'approchai à mon tour de l'arbre en question et posais ma main dessus. A ma grande surprise l'arbre était froid et je ne sentais rien à l'intérieur. Je reculais de quelques pas pour le regarder: il avait pourtant l'air en bonne santé! J'ajoutais donc:

-Mais pas celui-là...

Amayelle doutait apparemment de mon jugement ce pourquoi elle avait elle-même vérifiée. Elle s'était approchée d'un joli bouleau pour voir si lui aussi était mort. Peu après elle avait annoncée qu'il n'allait pas tarder à mourir lui aussi. Alfirin ayant fait le même constat il avait dit:

-Attendons la nuit pour lire les signes du destin! Nous avons besoin confirmation du ciel. Si c'est vrai ce serait horrible.


- Oui c'est une bonne idée mais pas ici. Venez il faut rejoindre la grotte d'Oriri avant le coucher du soleil.

Je me tournai et commençai à trottiner, mon l'esprit tournant à plein régime. Il fallait que j'aille prévenir mon père et les autres centaures qui habitait dans la même forêt que moi pour sonner l'alarme. Si les arbres venait à mourir, je ne donnais pas cher de notre peau...

Le soleil commençait à ce coucher et j'accélérais le pas. Cela faisait longtemps que je n'étais pas aller voir Oriri... Je me demandais comment il allait réagir. Le connaissant il serait assez bougon puis redeviendrais lui-même. En tout cas je ne doutais pas qu'il m'aiderait à trouver un refuge à mes deux compagnons. Tout à coup je perçus l'odeur d'un feu. Je tournais à droite pour suivre l'odeur et quittais par la même occasion le sentier que nous suivions depuis longtemps. Je jetais un coup d'œil aux deux autres centaures pour vérifier qu'ils me suivaient.

-Sa ne doit plus être loin, pensais-je.

Et en effet quelques minutes plus tard nous débouchâmes sur une petite clairière juste éclairée par le feu que j'avais sentis. Un vieux centaure se tenais près de ce feu. Je le reconnut immédiatement. Pourtant je constatais que sa robe autrefois d'un blanc éclatant, avait pris une teinte grise renforcée par l'obscurité qui nous entourait. Il leva vivement la tête vers moi, comme si je l'avais pris en faute. Le vieux centaure parut se calmer quand il constata qu'il me reconnaissait.

-Aurore ! Ma grande ! Que fais-tu ici ?

Il pencha un peu sa tête et continua:

- Et qui sont ces jeunes centaures avec toi ?

Il avait prononcé ces paroles dans un murmure et j'avais du me concentrer pour comprendre ce qu'il disait. Ce fut donc après une courte pose que je lui répondis :

- Bonsoir Oriri. Ces jeunes centaures sont Amayelle et Alfirin. Ils ont quelques problèmes et m'ont demandé de les aidés à trouver un refuge. Peux-tu nous en indiquer un ?

Je ne sus si Oriri fut surpris par ma demande mais en tout cas s'il le fut il n'en laissa rien paraître:

-Ooohhh... Tu cherches un refuge pour tes amis ? Et bien j'aurais put te proposer ma grotte mais premièrement elle est trop petite et deuxièmement elle n'est absolument pas sûr. Je ne vois qu'un endroit où vous pourrez être en paix: Les habitations solitaires.

Il avait à peine chuchoter ses trois derniers mots et je dus lire sur ses lèvres. Je me tournais vers Amayelle et Alfirin. Ces derniers étaient restés silencieux pendant mon échange avec Oriri et j'attendais leurs réponses.

[Désolée de mon retard ]