La Pierre d'Archimade

Avant de commencer, je souhaite vien du plaisir à ceux qui liront cette histoire car peu de courageux la liront!!! (Merci)

Première partie:

Addévaris s'était levé comme tous les matins peu après l'aube. IL était déjà partis récolter quelque fruits pour satisfaire son estomac qui criait famine. La plus grande occupation d'Addévaris était surtout de s'amuser et de se divertire Il avait donc pris soin avant de sortir de chez lui, de prendre avec lui quelque livres et autres occupations diverse. Assis sur la plus haute branche d'un très grand chène, (qu'il avait gravit en très peu de temps grâce à sa petite taille et à sa grande agilité), il contemplait l'horrizon. Ce que le jeune korrigan aimait avant tout était de se sentir comme une poussière parmis le monde, si vaste soit-il. Et c'est exactement se qui se passait sur ce chêne. Surmantant toute la fôret et toutes les rivières qui se livraient devant lui comme les veines du corps humains se livrent sous la peau, Addévaris regardait l'immense bande bleu qu'il avait face à lui. Le ciel, ce jour là était éclatant et non nuageux se qui fit sourrir la créature.
Au bout de quelque heures à regarder le magnifique spectacle, Addévaris grignota des fruits rouges qu'il avait pris juste avant de monter à l'arbre. Mais un korrigan; si tant est agile peut parfois devenir maladroit et il laissa tomber une framboise trop mûre. Celle-ci attéris sur un de ses livres. Alors, le regard d'Addévaris se fixa sur ce livre : il avait la couverture bleu très fonçé, ses reliures et ses bordures étaient garnies de plaques de métal dorée, et, au centre de la couverture, il y avait une petite serrure , elle ausi en or. La framboise s'était déposée sur le coin supérieur du livre et cachait une partie d'un enssemble de lignes courbes qui s'entrmelaient les autre entre elles.
Addéravis prit ce fameux livre avec les deux mains et l'éxamina; il enleva la "purée" de fruit qui s'y était déposée et essaya d'enlever la tâche qui continuait à accrocher à la couverutre.Il ne savait pourquoi mais il était attiré par ce livre, Quelque chose en lui lui donnait envie d'en savoir plus au sujet de l'ouvrage. Il se rappela soudain qu'il avait eut ce livre de part une vielle dame à la citée de Silimaure. La grand-mère l'avait interpellé alors qu'il regardait les vitrine des restaurants de la ville. Aussi lui avait-elle dit que se livre était d'une extrème rareté et qu'elle le lui donnait pour seulement le prix d'une boison à la taverne de la citée. A ce moment, Addévaris, était encore esclave chez les humains et il ne put s'empêcher de refuser le cadeaux car il lui était rare de recevoir des présents de la part d'humain. Ainsi donc, le korrigan avait acquérit ce livre mystérieux. Une fois rentré chez lui, Addévaris l'avait rangé dans son immense bibliothèque s'en y préter attention...
Addévaris posa sa main sur le livre et toucha du bout des doigt les dorrure, puis, il s'arreta au milieu de la couverture et se concentra sur la serrure. Il ferma les yeux. "Dans le tirroir du bas!".Aussitot, il descendit de l'arbre encore plus vite qu'il n'y était monté puis se rua vers sa maison dans la fôret. Il n'avait surement jamais courrut aussi vite, (sauf peut-etre quand il s'était fait pourchasser par une meute de loups affamés.)
Arrivée chez lui, Addévaris se précipita à coté de son lit et tira violement le tiroir du bas. Il y trouva la clef du livre... Elle était dorée, elle aussi et avit une forme courbée qui semblait s'entourrer autour de elle même comme sur la couverture. Le korrigan poussa un petit cri de soulagement et il s'assit sur son fauteuil. Il pris le livre d'une main, la clef d'une autre et s'empressa d'ouvrir le livre. Tout à coup, une raffale de vent qui semblait provenir du centre du livre ouvert se jetta contre la créature qui manqua d'être renversé en arrière. Enfin, le vent sembla s'atténué peu à peu et Addévaris puit découvrir le changement qu'avait provoqué l'ouverture du livre : il était toujours sur son fauteuille éclairée par sa lample se chevet mais au delà du cercle que formait la lumière autour du fauteuil, il n'y avait rien. Seulement le noir et le vide. Le ragard du korrigan se posa alors sur la première page du livre et lut le titre de celui-ci :

Deuxième partie :

Malgré sa stupéfaction, Addévaris se sentait attiré par le livre qu'il avait dans les mains. IL ne pouvait pas détacher son regard des pages jaunâtres. Ce n'est que lorsqu'il entendit des bruits de pas que le korrigan songât a lever son regard.
Devant lui, se tenait un vielle homme, barbu jusqu'à la taille. Il avait les cheveux aussi grisâtres que des nuages tourmentés et qui étaient recouverts d'un capuchon, composant d'une cape noire qui s'étandait jusqu'au sol et dont le pan élaborait quelques valées imprécises de tissus.
L'homme était grand, pour ne pas dire géant. Visage appliqué, sourcils relevés, l'air confiant et ouvert, assuré de par la simplicité et la légèreté qui s'émanait de son corps il regardait droit devant lui sans laissez de traces apparentes d'expressions sur son visage. Un des bras du vieux s'était enfouie dans la poche de la cape.
Addévaris jusqu'à présent serein, sentait coeur et poumons se nouer. Son visage trahissait un lèger sentiment de peur et ses mains s'étaient figées telles des blocs de glaces.
Il régnait à ce moment dans cet endroit obscur, une atmosphère de vide. Quiconque aurait put rejoindre les deux personnages aurrait constaté qu'une horrible froideur règnait dans se paysage finalement désemplie de toutes les joies de la vie.
Addévaris se demanda même s'il n'était, après l'ouverture du mystérieux livre tout simplement mort!!!!
Ce n'est que lorsque l'homme en face de lui pris la parole qu'il se senti en quelque sorte rassuré:
"_ Ainsi donc voilà le nouvel élu... Un korrigan... peu commun. Quel est ton nom petite créature?"
[...]
Le lendemain, Addévaris était allongé au pied d'un arbre. Il dormait. A coté de lui, posé contre son ventre le livre d' "La pierre d'Archimade le Blanc". Autour de lui, il y avait un paysage splendide. Papillon multicolores, arbres feuillues, prés verdoyants, fleurs rouges, jaunes ou orange constituaient le magnifique décor qui s'étendait très loin à l'horrizon. A quelque pas de l'arbre sous lequel Addévaris reposait, zigzaguait une petite route pavée. Un fermier l'empruntait pour pouvoir rejoindre son champs. Il était équipé d'une charrue tirée par un boeuf. L'un des essieux de l'arraire faisait un bruit monstrueux et Addéravis fut aussitôt réveillé.

Désolé, mais j'arrette la pour ce soir!!!!!!